L’environnement, la santé et la sécurité, les communautés prospères, des emplois satisfaisants et avec de bonnes conditions, la responsabilité fiscale sont tous des enjeux qui sont importants pour beaucoup de Canadiens. Ils le sont tout autant pour le Parti vert. Nous devons trouver plus de moyens pour davantage sensibiliser la population à ces facteurs et montrer ce qui est possible de mettre en place.
Nous avons toujours été un parti avec des politiques et des idées fortes. Ces dernières sont souvent promues bien avant les autres grands partis politiques. Présentement, la planète et les citoyens ont besoin d’avoir un parti axé sur les solutions. Ils ont besoin que nos politiques deviennent réalité. Cela signifie que notre but est de former un gouvernement. Pour atteindre cet objectif, je défendrai ardemment nos politiques judicieuses ainsi que nos solides candidats.
Pour former un nouveau gouvernement, nous devons attirer de nouveaux électeurs. Soit ceux privés de leurs droits, les électeurs stratégiques ou encore les électeurs déçus que les autres partis restent sur le statut quo. J’ai passé plus de 10 ans à travailler dans le milieu médiatique, et avec ceux couvrant les élections. Un conglomérat de médias ignore ou représente mal le Parti vert. Et aujourd’hui, de plus en plus de Canadiens voient l’actualité à travers des canaux non traditionnels. Nous devons donc trouver de nouvelles et meilleures façons de communiquer avec la population canadienne.
Depuis plusieurs années, je participe activement à des associations de circonscription électorale (ACE) tout en étant en contact avec plusieurs autres aussi. Les ACE et nos bénévoles sont la pierre angulaire de notre parti. Je sais que plusieurs d’entre eux n’ont pas assez de ressources pour rester actifs entre les élections. C’est pourquoi, après toutes ces années en ayant été aux côtés de l’ACE, le Parti vert doit davantage se connecter aux ACE. Nous avons besoin qu’elles soient fortes et organisées pour élire suffisamment de députés et ainsi réussir à former un gouvernement. Nous devons les aider à recruter de nouveaux membres, à former des nouveaux bénévoles et à collecter des fonds. Il est important d’être déjà actif entre les élections, car une fois celles-ci arrivées, nous pouvons nous présenter et nous mobiliser rapidement.
En tant que leader, je continuerai de travailler avec l’équipe extraordinaire du PVC ainsi que celle du Conseil fédéral pour aider les ACE à mettre en place les bases de notre succès.
Je veux devenir chef du Parti vert parce que je désire aider le plus de personnes possible. Je crois que la meilleure façon d’y arriver est de faire élire notre parti afin que nous puissions adopter des lois justes et significatives qui viendront en aide aux citoyens et à la planète.
En 2004, lorsque j’ai commencé à faire de la politique, j’ai pensé comme beaucoup d’autres personnes, à tort. Je pensais que le PV était un parti unique. Je me suis donc tourné vers les trois autres partis pour faire différents types de bénévolat. Cependant, je ne suis pas resté longtemps auprès d’eux puisque je ne sentais aucune connexion avec eux.
Depuis que j’ai rejoint le PV, j’ai établi des contacts avec plusieurs membres du parti. Les Canadiens n’ont pas été exposés correctement, ou encore pas du tout, à tous nos incroyables candidats. Ces candidats et ces membres ont de la passion, des idées et des expériences qui peuvent améliorer la vie des Canadiens. Les Canadiens méritent un chef qui aidera ces politiques et ces idées à voir le jour.
En tant que leader, je veux m’assurer que davantage de voix Vertes soient entendues. Je tiens à être la voix principale de tant d’autres voix fortes et pertinentes.